Axelllastar
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Date d'inscription : 19/08/2014
 |  Sujet: Eizô | Vacherie de Pirates !~ Mer 20 Aoû - 15:18 | |
| Eizô
| Pseudonyme : "Le Poing de Fer".
Âge: Dans la trentaine.
Sexe : Homme.
Race : Humain.
Groupe : Marine [Vice-Amiral voir Amiral ou moins].
But : Éradiquer toutes traces de Pirateries en ce monde.
Fruit du démon ou Aptitude que vous désirez posséder après votre validation : Force et Résistance de Garp | Haki de l'Armement | Haki de l'Observation [Selon le grade].
Équipement : Mes poings.
Parrain : Il y a aussi "Parrain II" qui est déjà sorti. |
Physique: Je crois que maintenant c'est le moment où je dois me décrire physiquement ? Vacherie que voila ! Si je me vente un peu trop, on va croire que je suis imbu de moi-même et si je m'enlaidis on va me prendre pour un Emo suicidaire. C'est vraiment obligatoire de faire cette partie ? Bon, bon d'accord je m'y met ! *Iwan se met devant un miroir* Alors par où je commence moi ? Bah tiens, mon style vestimentaire. Au diable l'uniforme de la marine, je porte mes propres vêtements et qu'importe si cela ne plaît pas à mes supérieurs. J'espère qu'ils ne peuvent pas m'entendre par contre. Bref, la plupart du temps je porte des vêtements amples et pratiques pour tous type de situation. Bah oui, j'ai pas forcément envie de me retrouver coincé dans un costume trois pièces alors je suis au prise avec un dangereux pirate ou pire, avec une jeune femme qui en aurait après moi. Bah quoi ? Vous avez déjà tenté d'enlever un costume en étant excité comme une puce sans en faire des confettis ? C'est pas pratique je vous assure ! Bref, pour un peu plus de détail, je porte des bottes en cuir noir, souples et de bonnes factures qui m'arrivent jusqu'aux mollets. Je porte un pantalon blanc qui change subitement de couleur au milieu pour virer au noir et je le rentre ensuite dans les bottes. Oui je me doute qu'un pantalon blanc et noir ça doit vous paraître étrange, mais je vous assure, c'est la classe ! Je porte ensuite une veste noir avec le blason de la Marine sur le torse -bah oui je travail pour eux quand même- et qui aborde aussi des coutures et des boutons rouge sang. Sous la veste on peut apercevoir des bretelles qui sont directement accrochées au pantalon mais qui sont là exclusivement pour le style. Tout autour du cou, j'ai une longue écharpe rouge sang, oui oui de la même couleur que les coutures de ma veste, la classe, je sais, et qui tombe dans mon dos jusqu'à atteindre plus ou moins mes fesses. Sur mon visage, un bandeau en cuir noir cache mon œil droit, une bien triste histoire que vous aurez l'occasion de connaître en lisant mon journal intime. Une grosse boucle d'oreille trône fièrement à gauche de mon visage, un cadeau de mon cher papa lors de mon intégration chez les mouettes. Oui, je crois qu'il a pas forcement comprit le dress-code chez les soldats de la Marine ... m'enfin ! Tout autour de mon front, se trouve un épais bandeau noir d'un dizaine de centimètres d'épaisseur. Pour le bandeau, c'est à la fois pour le style et pour l'aspect pratique, cela évite que mes cheveux me tombent devant les yeux, enfin l’œil, au mauvais moment. Et donc, retenue par mon bandeau, ma tignasse de cheveux flamboyante dont je prend un malin plaisir à coiffer d'une façon des plus abstraite. On peut dire que je maîtrise l'effet du coiffé/décoiffé à la perfection. Par contre, celui qui dit que les rouquins ça pue, je le mord ! Quoi qu'il en soit, je vais m'attarder maintenant un peu plus sur mon visage. Mis à part mon cache œil, il est tout à fait banal je dirais. J'ai les traits fins, un petit nez pointu et une dentition vraiment parfaite, mon sourire fait des ravages ! Le seul oeil qui me reste est d'une couleur verte très appréciable. Le tout forme un jeune et joli marine d'un mètre quatre-vingt pour soixante dix kilos. Je ne dirai pas que mon corps est taillé dans le marbre, que j'ai une musculature à la hercule avec une force surhumaine parce que ce serait faux. J'ai une musculature un peu plus présente que la normale due à mon entraînement intensif dans les divers camps d'entraînement de la Marine. Mais comme je suis un "planqué" et que je tente de me tenir le plus loin possible de la première ligne avec mon fusil, j'ai pas eu le droit à l'entraînement d'élite, chouette hein ?! D'ailleurs, en parlant de mon fusil, il ne me quitte jamais ! Un fusil de précision que j'ai depuis maintenant une année, cadeau de mon commandant lors de ma promotion en tant que Sergent. Bien sagement dans mon dos, il attend que je le mette en marche pour accomplir son macabre dessein. Une balle, un mort : la triste loi d'un sniper ! Psychologie: En règle générale, la façon de penser d'une personne se montre quelquefois d'une manière égoïste, infidèle et purement médiocre. Ce qui est étrangement le cas d'Alucard qui ne pense qu'à satisfaire des envies personnelles, ignorant le reste du monde tout en ayant une humeur massacrante. Mise à part, si la joie provient du fait de tuer sans éprouver de regret, cet homme aime par-dessus tout sentir, ou même voir le sang couler partout où il va. Il possède le sang chaud et peut éclater sa colère sur n'importe quelle insulte. L'insulte peut avoir une ampleur très grave ou très faible, cela ne retiendra pas le courroux de cette personne vraiment très colérique. Il y a aussi l'effet de toujours éradiquer la race faible qui lui monte à la tête. S'il juge qu'une personne est faible, il tuera celle-ci sans hésiter, dans le cas contraire, il en fera un allié des plus favorables.
Le cerveau qu'il détient regorge d'un orgueil inouïe, il est très souvent sûr de son actuelle puissance, tellement que cela en devient presque un paradoxe. Il ne peut pas s'empêcher de se vanter comme un stupide gosse qui découvre pour la première fois la passion d'avoir des amis. Son attitude tourne d'ailleurs le plus souvent dans la vantardise et cela court lentement vers sa perte, mais il sait tout de même revenir sur le droit chemin et ne pas trop en faire pour être dans un équilibre parfait et impeccable au niveau de ses envies. Il s'avère aussi que sa personnalité tourne dans une virilité sans échange équivalent. Il prend toujours les moyens nécessaires afin de ne pas être une personne dont l'attitude frôle la niaiserie. Parfois, il se permet même d'utiliser l'une de ses armes pour imposer sa supériorité au sein de son entourage et ainsi prouver son côté viril des choses. Pour clôturer le tout, il a également cette fâcheuse habitude de se montrer intelligent, alors que cette facette n'est pas dans l'esprit de son cerveau. L'avarice, rien de plus merveilleux quand le pouvoir et la gloire coule à flot devant les pieds de notre homme. Il adore tout ce qui touche l'argent et la puissance. Pour ce qui est de la puissance, Etsukazu serait prêt à tout pour avoir la puissance idéale et ainsi se montrer dans une imposante situation pour tuer ceux qui viendraient à le gêner.
Cette fameuse opportunité de vouloir encore et toujours ce qu'il n'a pas autour de lui, cette chose qu'il veut à tout prix obtenir pour son propre plaisir. Ce que l'envie de cet homme peut être un véritable paradoxe pour son entourage, il souhaite toujours obtenir ce que les autres possèdent et surtout ce qu'il n'a pas pour lui-même. Il a cette obsession de vouloir ce qu'il veut depuis toujours, l'envie est parfois mal-placée. Il peut très bien s'agir du cœur d'un être-humain, tout comme le besoin de l'argent ou des collectes d'informations importantes, de plus, les fins qu'il utilise sont parfois sanglantes.
Les effets de la colère le pousse parfois à des envies de meurtres. Mais il y a une chose, et une seule qui pousse le plus souvent sa colère à son apogée, c'est le fait de voir des citoyens maltraités qui fait surgir une puissante et cruelle envie d'homicide. Il a horreur de savoir que des forbans attaquent des villageois. L'événement de devoir subir les paroles philosophiques des autres personnes qui essayent en vain de l'empêcher de cogner, ce qui arrive très souvent, ont pour tendance à le faire sortir de ses gonds. Mais sa colère peut aussi provenir quand un signe de faiblesse est en vue, pour lui-même autant que pour ceux qui l'entourent. Il s'avère même parfois qu'il se frappe ou qu'il veuille se tuer à cause de ses propres faiblesses.
Passionnante facette de la gourmandise, que trouver de mieux pour approfondir la sensation de l'extase tout en faisant preuve de gloutonnerie : la saveur d'une nourriture raffinée et de pouvoir en redemander. Cela en va de même pour ce qui est des actes interdites, mais que tout le monde enfreint. Vient ensuite la dernière partie qui clôture la moralité qu'il possède ... le fait de ne pas vouloir faire le sale travail et de rester dans un lieu propice à la tranquillité. La paresse est sans doute l'un des plus gros défaut du monde entier, ne pas vouloir faire une chose alors que la situation actuelle est agréable. Il se peut même que cette paresse soit contagieuse, tout simplement avec un cuisant bâillant qui surgit à n'importe quel moment. Il s'avère aussi que cette paresse affecte en elle-même les combats, d'un genre tellement ennuyant qu'il ne souhaite pas prendre la peine d'affronter les autres protagonistes qui lui barrent la route. Biographie: Une heure tôt le matin, on entendit du côté de la mer des bruits assourdissants, comme si des trombes d'eau, mêlés à de puissants vents, tombaient du ciel. Le navire parut alors à découvert avec son pont chargé de monde et son pavillon en berne. Il était mouillé entre une île de East Blue et la terre, en dessous de la barrière de récifs qui entoure l’Île. Son avant était face aux flots qui venaient de la mer. Chaque lame d'eau, qui rencontrait sa proue, faisait soulever celle-ci toute entière, à savoir que l'on pouvait voir la coque en l'air. Lors de son retour sur l'étendue bleuâtre, la coque plongeait, comme submergée par les flots. Dans cette position l'embarcation ne tiendrait pas éternellement, il était également impossible au navire de fuir par où il était venu. Ils risquaient de s'échouer sur le rivage, seul plusieurs mètres de profondeurs semés de coraux les séparaient de la terre.Les lames, qui venaient s'éteindre sur le rivage, s'avançaient jusqu'au fond des baies. En se retirant, elles emportaient une grande partie de la plage. Leur force faisait rouler les galets dans un bruit cacophonique. La mer, ébranlée par la tempête, grossissait à chaque minute qui passait. Le canal, comprit entre l'île et la terre, n'était qu'une vaste étendue d'écumes et de vagues noires. Ces écumes se regroupaient dans le fond des baies à plusieurs mètres de haut. L'horizon, avec tous ses signes, présageait une longue tempête. La mer se confondait aisément avec le ciel. Des nuages, d'une forme immature et noire, traversaient le ciel à la vitesse du vent. Ils étaient aussi sombre que les abysses ! De puissants nuages d'éclairs prêt à imploser à la moindre seconde. Une lueur verdâtre avait pris position aux alentours, masquant la lueur du soleil et la venue du jour.Dans les balancements du bateau et après tant d'effort pour maintenir la tête hors de l'eau, ce qui devait arriver, arriva ... Les câbles à l'avant cédèrent, et comme il n'était plus retenu que par une seule corde, le navire fut projeté sur les coraux à une nautique du rivage. La mer, dans ses mouvements irréguliers, laissait l'embarcation presque à sec. De temps à autre, il était possible de faire le tour du bateau à pied. Hélas, dans la foulée, elle revenait sur ses pas, avec un élan encore plus dévastateur que le précédent. L'eau avec sa grande vélocité, soulevait tout l'avant du navire, découvrant sa coque et rejetant bien loin vers l'infini un jeune adolescent. Edward, les jambes en sang, la poitrine tailladée, et à demi noyé, luttait pour sa survie. A peine avait-il repris ses esprits, qu'il se retournait avec un nouveau souffle, vers le navire de toutes ses forces.La mer fracassait, de puissantes secousses, l'embarcation de notre héros. Tout l'équipage se précipitait à la mer, à l'aide de caisses, de planches et de tonneaux. Etsukazu s'éloignait de plus en plus du rivage. Il ne voyait quasiment plus rien, le sel formait des croûtes aux coins de ses paupières. Le corps lourd, une grande fatigue l'assiégeait. Il avait beau se maintenir à une planche de bois, cela n'était guère suffisant contre la sauvagerie d'une mer déchaînée. Après plusieurs minutes de lutte acharnée, une énorme vague vint s'abattre sur sa silhouette. Un choc sur le haut du crâne et il sombrât dans les ténèbres, bercé par les flots d'une tempête ravageuse.
Deux heures au milieu de l'après midi, une porte s'ouvrit sur une salle. La lourde poterne en bois, vernie, grinça durant tout l'effort de son écartement. Ses chevrons, en métal, avaient faiblis avec le temps et les années. Sa poignée, noire, était à la base resplendissante d'une couleur dorée qui désignait l'importance des lieux. Haute de plusieurs mètres, l'huis avait fortement perdu de ses anciens charmes, seul les gravures étaient encore présentes sur celle-ci. Un ancien vestige d'un luxe passé, d'une mode oubliée et d'un culte évincé. Grande gardienne de l'hospice et de l'autel. Elle masquait, par sa grandeur, la salle de cérémonie ainsi que ses richesses aux étrangers.Cette salle ressemblait plus à une grande halée voûtée et garnit d'innombrables bancs. Cette alcôve était le cœur du couvent. Souvent comparée à un vestibule ou à un vivoir, il ne fallait surtout pas oublier l'histoire qui parcours les murs du monastère. Puissant édifice, il a su vivre avec son temps et lutter contre le changement des époques. Aucunement immunisé par la guerre et la technologie, le cloître est un signe de vigueur et de sagesse et surtout un édifice à respecter. Aujourd'hui encore de nombreux pèlerins viennent dans cette forteresse pour contempler les vestiges d'un passé meurtris. Le foyer, ou amphithéâtre pour les plus anciens, ne pouvait être vu que des cénobites pratiquant couramment le culte et la lecture des manuscrits sacrés.L'hiérophante et sa pythie avançaient doucement dans le layon. Les bancs étaient peuplés de frères. Quelques moines préparaient l'autel pour la célébration de ce jour sacré. Un prélat s'était spécialement déplacé pour l'événement. Edward se trouvait au premier rang, il ne savait pas trop pourquoi il était dans cette salle. La procession débuta et il sentit l'angoisse monter en lui. Le doute germait dans son esprit, son amnésie lui envoyait des flashs sur son passé. Il n'arrivait pas à gérer ces transes et souvent il s'égarait dans le passé.Une cloche résonna et il fut le seul à ne point se lever. Il était recroquevillé sur ses genoux tenait fortement sa tête entre les paumes de ses mains. Des grandes larmes de sueur perlaient sur son front et il sentait la peur l'assiéger. Il voulait se lever et pourtant il n'était même pas capable de mouvoir le moindre orteils. La vestale vint à ses côtés et posa délicatement sa main sur son front. Quelques secondes plus tard, il sentit le mal quitter son corps et il put par la suite s'agenouiller devant elle en exprimant son pardon. La déesse eut un simple rictus et le rite continua sans le moindre incident.Etsu' reprit ensuite son entraînement physique et quotidien. Il s'entraînait seul dans sa chambre avec quelques exercices qu'il avait expressément inventé. Après chaque mois qui passait, sa silhouette devenait plus large et plus musclée. Il voulait devenir plus fort et augmenter sa résistance, pour arriver, un jour, à contrer sa mémoire. Il ne souhaitait pas se remémorer les temps antédiluviens de sa misérable existence, il souhaitait être en mesure de mettre un terme à ses angoisses et ses flashs d'une enfance décédée.Comme à son ordinaire, à la suite de chaque niaiserie, notre jeune homme avait le droit à une visite de la prêtresse. Elle venait absoudre les péchés de son protégé par le plaisir charnel et la violence physique, tout dépendait de son humeur. Aussi froide et glaciale que le blizzard du Nord, cette femme représentait les pires craintes de nôtre héros. Sous son allure de vestale, se cachait un terrible démon animés par de vigoureux fléaux. Elle martyrisa notre héros, durant de longues années. La soumission physique et psychologique ébranla l'avenir du colosse.
Trois heures tard dans la nuit, Eizô s'éveilla en sursaut. Il venait de chuter lourdement de son lui, projeté par la violence de son bond. Un cauchemar, encore un autre et encore la même histoire. Il n'arrêtait pas de ressasser les mêmes événements depuis plusieurs mois. A chaque fois qu'il fermait les yeux, c'était le même rêve, la même souffrance, la même tristesse. A son réveil, il se souvenait toujours de la mer déchaînée et de la prêtresse démoniaque. A un moment, il avait même pensé à cesser de dormir. Mais c'était plus facile à dire qu'à faire. Alors, il se convainquait, qu'un jour il finirait bien par oublier. S'occupant le plus souvent l'esprit pour ne pas y penser, Alu' s'entraînait pour oublier. Aujourd'hui dans les entrailles du monde, il avait rejoins cette région, il y a quelques années de cela.Dans celle-ci, il avait sombré encore plus profondément dans la noirceur de son âme meurtrie. Il avait quitté le monastère dans un état déjà pitoyable, mais actuellement, il était devenu encore plus méprisable que ses tortionnaires des années passées. Un vrai vagabond sans but … Il avait pris une chambre dans une auberge, afin de prendre le temps de se reposer. Il revenait tout juste d'une longue mission dans les ténèbres de ce monde. Il n'était pas au courant des dernières nouvelles. Il était désireux d'entrer dans la Marine, mais pour l'instant il était trop indécis. Alors qu'il voguait sur ses pensées, il fut interrompit en pleine séance de méditation. Soudainement, une fille d’Ève, charmante et ravissante, vint le quérir. Un des major d'homme lui avait passer le mot. Une présentation, une poignée de main, un sourire et il entra au sein de l'armée.Dans cette institution, il apprit à maîtriser son don. Un don qu'il avait acquis en mordant dans un fruit amère. Il devint plus mûre et acquit une grande expérience. Il mit plusieurs années avant d'atteindre un rang dans la hiérarchie et également à se perfectionner dans le domaine du combat. Sa force brute était indéniablement ça plus grande force et ça plus grande capacité. Cette force de la nature, lui permit de gravir les échelons et de devenir rapidement un exemple pour les nouvelles recrues. Etsukazu venait de tout en bas, il avait commencé en tant que simple troufion et siégeait maintenant à un poste. Il était un exemple à suivre, mais seulement dans les grandes lignes. Car il était également connu pour ses grandes colères et ses nombreuses destructions. Son pouvoir était dévastateur et la moindre erreur pouvait facilement amener à de lourds dégâts. Il ne fallait pas croire que notre jeune homme était arrivé à ce poste en un claquement de doigt. Le chemin fut long et sinueux, loin de celui de personnage de bonne famille.
Dernière édition par Axelllastar le Mer 20 Aoû - 16:13, édité 1 fois | |
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